Qui suis-je ?

J’ai commencé ma vie active dans la presse écrite, pour le quotidien Ouest-France à Caen. J’ai ensuite bifurqué vers la culture et le spectacle vivant, d’abord à l’ODACC (Office départemental d’action culturelle du Calvados), puis en tant que manager et producteur du groupe Mes souliers sont rouges.

Trois albums, huit cents concerts et un grand nombre de festivals francophones plus tard, je suis revenu à mes premières amours professionnelles en fournissant reportages et portraits à plusieurs journaux (La Renaissance, L’Éveil de Lisieux) et magazines (Au Fil de la Normandie, L’Automatique, J’ai Faim !…), ainsi qu’en livrant mes premiers copywritings à l’agence de communication caennaise Attribut (aujourd’hui disparue).

De passage à Paris, j’ai collaboré avec plusieurs agences de communication pour des dossiers techniquement passionnants, mais dans lesquels il m’est arrivé de me sentir en contradiction avec mes valeurs. Je me suis alors tourné vers des missions liées à l’enseignement au sens large : d’abord l’éducation au écrans et la remédiation au décrochage scolaire (en France), puis la formation et l’éducation permanente (en Belgique).


Pendant toutes ces années, je n’ai jamais cessé mon activité de copywriter au service de projets porteurs de sens à mes yeux. J’ai également publié quelques ouvrages, sous mon nom ou en ghostwriting.


Installé à Bruxelles, je partage désormais mon temps entre le copywriting et le conseil éditorial, la formation, l’écriture et la conception de jeux — dont Bruxelles Vortex et Cartodyssée. Je me consacre également à Focus, un dispositif que j’ai conçu pour aider les personnes qui le souhaitent à lâcher leur smartphone et retrouver leur temps et leur attention.

Enfin, membre fondateur du collectif 7àDire, je prépare un spectacle conté pour 2025.

Le nom de ce site, Babeleur, est un clin d’œil à un projet de fiction littéraire que je suis en train de mener. Il évoque aussi Bruxelles (merveilleuse Babel moderne, dans laquelle se côtoient des personnes de près de 200 nationalités différentes) et le terme babbeleir, qui signifie « bavard » en brusseleir.